« Une insatiable voracité traverse l’histoire humaine, jusqu’aux paradoxes d’aujourd’hui ; ainsi, quelques-uns se livrent à des banquets tandis que beaucoup d’autres n’ont pas de pain pour vivre »,
A martelé le pape argentin, infatigable défenseur des pauvres, en appelant les fidèles à « ne pas glisser dans les ravins de la mondanité et du consumérisme ».
Le patrimoine su Vatican :
- 115.000 immeubles en Italie
- 23.000 terrains
- 9000 écoles
- 4000 Hôpitaux
- 70.000 œuvres d’art pour 90 milliards d’€
- 3,3 milliards € d’obligations
- 1,2 milliards € de dépôt
- 194 millions en fonds d’investissements
- 100 millions € d’actions
- 2 tonnes d’or
- 87 millions € de produits financiers annuel
benet-blog.fr 
Et les églises de nos villages tombent en ruine.
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Que voilà un article qui sent le souffre ! Évoquer la puissance financière d’une institution qui prêche la pauvreté est parfaitement déplacé ; ce texte devrait valoir à son auteur un aller simple vers l’enfer, et ce pour l’éternité, qui comme chacun sait est bien longue, surtout vers la fin !
Cela dit, personnellement je préférerais partager l’enfer avec Georges Brassens plutôt que le paradis avec le cardinal Daniélou, ce saint homme mort en épectase dans les bras secourables d’une petite vertu. A l’époque, la réaction de son institution est un monument de tartuferie : « le cardinal est décédé d’avoir approché de trop près le Mal ».
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