(Texte à deux mains, écrit avec mon fils Paul)

Mon Président a dit : « C’est dur d’avoir20 ans, en 2020 ».
Ouf ! je l’ai échappé belle car je viens de fêter mes 21 ans en novembre dernier.
Aussi, je profite du temps libre que m’impose le confinement, pour réfléchir aux opportunités que vont m‘offrir la période de sortie de crise.
Ainsi, je n’aurais, peut-être, pas trop perdu mon temps, pour en avoir gagné sur mon avenir.
Car l’histoire à bien souvent montré que la sortie d’une crise grave est suivie d’une période de rebond, dont profitent ceux qui basculent dans la dynamique de la reconstruction.
Il faut donc que je me prépare à utiliser efficacement cette période à venir, en me dotant d’un mental de gagnant.
Si l’on imagine la fin des effets dilatoires de la pandémie en 2022, une fois que la vaccination généralisée aura produit ses effets, je serais, à cette période dans ma dernière année d’étude en alternance : celle de mon diplôme en Master en informatique, dans le secteur des services qui représente 70% du marché des pays développés.
Le timing m’est donc favorable et de plus, cette observation me sert d’un optimisme qui va m’aider à supporter, pour encore quelques mois, le poids psychologique de la situation actuelle.
Je laisse aussi ma fenêtre ouverte, pour inviter la beauté à entrer et l’inspiration à sortir, et aussi au Covid a passer son chemin.
L’avenir m’appartient et je n’ai pas l’intention de l’abandonner à la morosité.