
Le débat sur le racisme au sein de la police fait rage.
Les accusateurs mettent en avant les « bavures », et stigmatisent la police en l’accusant d’un contrôle au faciès. Il serait, selon eux, 2 fois plus probable d’être contrôlé lorsqu’on est jeune, noir ou arabe. La police, de son côté se défend en réfutant les chiffres de cette réalité.
Cette défense de la police est mauvaise, ridicule et contre-productive.
En effet, comment imaginer qu’un policier normal, ne soit pas automatiquement enclin, à contrôler plus régulièrement un jeune, un noir ou un arabe, alors que dans cette population, le pourcentage de délinquants est, à l’évidence, beaucoup plus important que dans la moyenne de la population ? Le rôle de la Police étant, quand même, de faire régner l’ordre, en interpellant un maximum de délinquants.
Il n’existe pas, en France de statistiques sérieuses, sur la « typologie » (race, couleur, immigrés…) de la population carcérale, sauf que la part d’étrangers y est particulièrement élevée. Et cela, d’ailleurs paraît compréhensible, si on tient compte des difficultés liée à l’immigration.
Ainsi, alors que les étrangers représentent environ 6% de la population, on constate 19 % d’étrangers dans les prisons, donc trois fois plus que leur représentativité nationale. Le réflexe normal et compréhensible (ou même la nécessité de productivité) justifie donc que certaines populations soient au moins, deux fois plus contrôlées. C’est bien le contraire qui serait inhumain et non professionnel.
Il serait donc normal, que la police effectue beaucoup plus de contrôle « à l‘apparence », qu’elle n’en fait actuellement « au faciès », ne serait-ce que pour des questions d’efficacité et de sécurité.
Par contre, elle doit réaliser ces contrôles dans l’absolu respect des règles de convenance et d’équité, tout en étant fortement coercitive en cas de résistance.
Une autre solution, serait de confier les contrôles aux robots, à condition qu’ils ne soient pas trop intelligents, car sinon, ils s’adapteraient de même, en multipliant les contrôles au faciès pour ne pas trop y perdre en matière d’efficacité et justifier leur coût. Mais, seul alors, le logiciel serait critiquable !
Voici donc l’exemple, d’une accusation idiote qui reçoit une réponse défensive stupide, ce qui paraît bien dans l’air du temps, du reste.
Bonsoir, Si tu mets des cornichons dans un pot de confiture de fraise, ça restera des cornichons, donc je pense qu’on peu facilement passer de 6 % à au moins 15 %. Le rapport avec la confiture ?
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Bon, surtout si se sont des cornichons d’AFN
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