
Depuis Moscou, la propagande télévisée nous fait la démonstration illustrée, façon jeu vidéo, de l’immense supériorité militaire russe.
Ainsi, il ne faudrait que quelques minutes, pour détruire la Grande Bretagne, grâce à un simple missile nucléaire tiré d’un sous-marin côtier, pour qu’une vague de 500 mètres submerge entièrement le continent britannique.
200 secondes suffiraient pour détruire Londres ou Paris, grâce au tir d’un seul missile hypersonique Kinjal, prétendu invulnérable.
Par-contre, sur le terrain, il semblerait impossible aux russes de prendre possession des galeries du site de l’usine Azovstal en délogeant les quelques soldats ukrainiens qui s’y abritent. On pourrait cependant imaginer qu’il soit assez facile de corrompre le système de ventilation des souterrains, ce qui en rendrait l’habitat impossible, en imposant aux occupants soit la reddition, soit la disparition.
Personne, dans l’entourage de Poutine, n’a osé lui avouer, que le jeu vidéo de guerre, fourni pour occuper sa solitude en période de Covid, n’était qu’une projection virtuelle futuriste.
Il l’a compris comme une réalité opérationnelle aujourd’hui, fruit de l’immense génie technologique de ses chercheurs.
Depuis, il ne quitte plus son joystick, que pour le prêter occasionnellement à son présentateur télé préféré, qui en abuse pour tenter d’effrayer le monde et rassurer les Russes. ..