Etre sûr de ce que l’on sait, impose de savoir pourquoi on le sait. Ce parcours passe par la connaissance qui induit la compréhension. Sans ambitionner l’expertise, cette série « Comprendre » cherche à démystifier des thèmes qui ne nous sont souvent familiers qu’à travers leurs titres. Nous souhaitons des articles « digestifs », courts et simples. » Ce qui ce conçoit bien, s’exprime clairement, et les mots pour le dire arrivent aisément »
Connaissez-vous ce curieux disfonctionnement de l’esprit mis en exergue, en 1985, par Areks et Blumer, deux chercheurs en psychologie sociale ? « Vous souhaitez passer deux week-ends au ski. Vous avez réservé sur catalogue, un W.E dans les Pyrénées pour 300 € et un dans les Alpes pour 500 €.Malgré son coût moins élevé, vous préférez àLire la suite « 9. Le sophisme de la dépense gâchée »
(Etude comparative des pandémies naturelles et des génocides humains) Hier, nous parlions de virus. Aujourd’hui, nous parlons de génocide, nous évoquons le risque nucléaire. Dans l’histoire récente de l’humanité, il est curieux d’observer que si nous retenons les six plus importantes pandémies et les six plus grands criminels, on constate que, dans les deux cas,Lire la suite « 8. Match nul »
Sur la force Il n’est pas judicieux de tenter une négociation quand la force n’est qu’en votre faveur car comme vous n’avez rien à concéder, votre adversaire n’a rien à vous offrir, en échange. Si votre ennemi y participe, c’est sans autre espoir que celui de conserver le dialogue ouvert, pour négocier le jour oùLire la suite « 7. Neuf règles sur la négociation »